Information :
Date de sortie initiale : 27 février 2025
Plates-formes : PlayStation 5, Xbox Series, Microsoft Windows, Linux, systèmes d'exploitation Mac OS
Développeur : Two Point Studios
Genres : Jeu vidéo de simulation, Jeu vidéo de stratégie, Jeu vidéo indépendant, Casual game, Strategy
Éditeurs : Sega, SEGA of America
Série : Two PointDirecteur : Ben Huskins
Introduction
Two Point Museum est le dernier jeu de gestion développé par Two Point Studios, célèbre pour ses titres humoristiques et addictifs comme Two Point Hospital et Two Point Campus. Cette fois-ci, le studio nous plonge dans l'univers fascinant des musées. L'objectif ? Construire et gérer son propre musée en attirant un maximum de visiteurs tout en gérant le personnel, les finances et les expositions. Ce nouvel opus parvient-il à renouveler la formule tout en conservant l'ADN de la série ? Réponse dans ce test.
Gameplay et mécaniques de jeu
Dès les premières minutes, Two Point Museum reprend les bases solides des jeux précédents de la franchise. On commence avec un petit bâtiment vide et quelques fonds pour créer notre premier espace d'exposition. Les mécaniques de base sont accessibles : il suffit de placer des objets d'exposition, de décorer les salles et d'assurer une bonne circulation des visiteurs pour maximiser leur satisfaction. Très vite, la gestion se complexifie avec l'ajout de nouvelles fonctionnalités.
Création et gestion des expositions
L'une des particularités du jeu réside dans la variété des expositions. Les joueurs peuvent choisir entre des expositions historiques, scientifiques, artistiques ou encore interactives. Chaque type attire un public spécifique et génère des revenus différents. Il faut ainsi jongler entre la diversité des expositions et l'optimisation des espaces.
Gestion du personnel
Comme dans Two Point Hospital, la gestion des employés est cruciale. Il est indispensable d'embaucher des conservateurs pour la maintenance des œuvres, des guides pour améliorer l'expérience des visiteurs, des agents de sécurité pour éviter les vols et des chercheurs pour découvrir de nouveaux artefacts. Chacun possède des compétences évolutives, et la formation est essentielle pour optimiser le rendement du musée.
Expéditions archéologiques
Grande nouveauté de cet opus, les expéditions permettent de récupérer des artefacts rares pour enrichir son musée. Il est possible d'envoyer des équipes aux quatre coins du monde pour découvrir des trésors enfouis. Cependant, ces expéditions coûtent cher et doivent être bien planifiées pour être rentables.
Gestion financière et popularité
L'argent est bien sûr au cœur du jeu. L'entrée du musée, les boutiques souvenirs et la cafétéria sont autant de sources de revenus. Il faut aussi surveiller les dépenses : entretien des œuvres, salaires des employés et améliorations du bâtiment. La réputation joue un rôle clé : plus le musée est célèbre, plus les visiteurs affluent, générant ainsi plus de bénéfices.
Esthétique et ambiance
Le style visuel de Two Point Museum reste fidèle à la patte Two Point Studios : des graphismes cartoon colorés et détaillés, une animation fluide et des personnages à l’humour décalé. Les expositions sont bien modélisées et riches en détails, offrant un rendu plaisant à regarder. L’ambiance sonore, quant à elle, alterne entre musiques légères et bruitages immersifs qui rendent le musée vivant.
Durée de vie
La rejouabilité est l’un des points forts du jeu. Avec ses multiples défis, ses musées aux thématiques variées et la gestion libre en mode bac à sable, Two Point Museum propose de nombreuses heures de jeu. Cependant, après une vingtaine d'heures, une certaine répétitivité peut s’installer, notamment dans la gestion quotidienne des employés et des finances.
Points forts :
Une gestion accessible et fun, fidèle à l'esprit Two Point
L’ajout des expéditions archéologiques, qui apporte une nouvelle dimension stratégique
Une esthétique colorée et une ambiance pleine d’humour
Une forte rejouabilité grâce aux nombreux défis et options de personnalisation
Points faibles :
Quelques soucis d’équilibrage financier, rendant parfois la progression trop facile ou frustrante
Un manque d’interactions entre les visiteurs, qui auraient pu être plus dynamiques
Une certaine répétitivité à long terme, surtout dans la gestion des tâches quotidiennes
two point museum - le test